mercredi
15 janvier 2003
Par ces mots, nous nous joignons à la peine de la famille de Mohamed Cheriff. Il est mort des suites de sévices que lui ont été infligés par deux tortionnaires. Son corps carbonisé à été découvert le 12 septembre à Toulouse. Nous souhaitons ici protester contre le traitement de ce drame dans la presse locale, qui a continuellement présenté la victime sous le jour le plus défavorable possible et qui n’a su que profiter du spectacle macabre de sa mort en publiant photos et détails, sans jamais se soucier de la sensibilité de la famille de la victime, ni lui donner la parole.
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