Toute ma vie, jusqu’à ce jour, j’ai essayé de vivre le plus libre possible, c’est-à-dire de profiter un maximum du temps qui m’est offert pour jouir de la vie, échapper aux contraintes, mettre à profit mon temps libre pour voyager, faire des rencontres, lire, m’instruire, m’épanouir, rêver, vivre humblement, m’émerveiller devant la beauté du monde, idéaliser une autre société, humaine juste, juste humaine, libre, ou règnerait partout la souveraineté de la vie, tout en essayant à mon niveau de diffuser cet idéal, ses idées (...)
Adrian, faucheur volontaire, comparassait vendredi 8 février à Montauban suite à son refus de fichage ADN.
À l’occasion de sa précédente convocation au tribunal, le 11 janvier dernier, des agriculteurs de la FNSEA occupaient la place au tribunal, venant demander une punition contre ce « lanceur d’alerte ». Ils ont prétendu interdire l’accès à la salle d’audience aux personnes venues soutenir Adrian, provoquant des échauffourées. (On a pu remarquer à l’occasion une bien plus grande mansuétude des forces de police (...)
Voici le récit d’une manif’ qu’un compagnon, paysan bio dans l’Orne, nous a fait parvenir. Comme il nous l’explique, sa diffusion peut être « utile aux nombreux copains comme moi, un peu isolés, pour montrer qu’on peut agir, naturellement et sans complexe, et montrer aux nombreuses personnes sincères, non militantes, qu’il n’y a pas que des opportunistes ou des orgas qui ne luttent que pour leur chapelle ou la pêche au voix... »
Récit d’une manif, un vendredi à Alençon Petits chefs de la Conf’ ... chiens (...)
Les Pyréennées orientales sont un département largement rural avec de nombreuses productions saisonnières (vendanges, cueillettes, etc ...). La précarité est une tradition quasi « culturelle » de ces activités, où la main d’œoeuvre s’achète à vil prix et de préférence quand elle est immigrée sans papiers, c’est à dire à l’entière merci d’un patron féodal. Mais il arrive que les esclaves en aient marre et se rebiffe. C’est ce e qui s’est passé au Mas Riols. Des compagnons, habitant du village, se sont solidarisé avec la lutte (...)
Sous couvert de défense de la Santé publique, la politique sanitaire européenne organise la disparition des petits paysans.
1° Les différents managers de la Société France and Cie, qui se sont succédés au fauteuil directorial depuis les années 80 ont eu pour unique objectif la préparation du grand bond en avant vers la mondialisation de l’économie pour préparer l’avènement de l’empire planétaire de la marchandise, nos joyeux managers ont procédé à de vastes restructurations (dans différents secteurs) toutes fondées sur le (...)
Et on est repartis pour un tour. On y était déjà allé pour la " correctionnelle ", on allait pas rater " l’appel ". En voiture pour Montpellier donc. C’était pas au même endroit que la dernière fois ni les mêmes juges, mais l’histoire, vous en avez déjà entendu causer. De quoi ? Vous avez tout oublié ? Vous avez pas bien lu votre " Combat syndicaliste ", celui de l’avant-dernière fois ? Bon, je vous la re-raconte, mais c’est la dernière fois.
C’est l’histoire de Jean-Louis. C’est un vieux de la CNT-AIT. Il (...)
Nous avons rendu compte, dans notre numéro 76, du procès en première instance fait à notre compagnon Jean-Louis par deux associations dont il était salarié. Le verdict est tombé. Sur l’action civile, une des associations, la SPNLR (Société de Protection de la Nature du Languedoc Roussillon) a été purement et simplement déboutée du fait de la grossière irrégularité de son attaque. Pour le moins, on peut s’étonner qu’une association, composée de nombreuses hautes personnalités (caractéristique fortement souligné par leur avocat (...)
J’avais jamais été au tribunal. Les copains m’ont dit : "Cette fois, tu viens, c’est pour Jean-Louis, et en plus, c’est pour diffamation". La diffamation, c’est quand tu te plains que le patron t’écrase la gueule. Si tu le dis trop fort, il peut te mettre au tribunal. Si tu l’écris dans un tract syndical, c’est encore pire. Pour Jean-Louis, c’était écrit dans un tract. Alors, j’y suis allé.
On est arrivé presque à la bourre. Heureusement, dans la rue, il y avait une banderole rouge-et-noire. "C’est là". On a (...)
Jean-Louis, un compagnon de la CNT-AIT de l’Hérault, a été licencié en juillet 2000. Il travaillait depuis 1984 au CLAPE-LR, une association d’environnement du Languedoc Roussillon. Ce licenciement faisait suite à une lutte des salariés de l’association, contre les méthodes du nouveau bureau, agissant en véritable petit patron. Il est aujourd’hui poursuivi pour diffamation par des membres du bureau. Ils lui reprochent de dénoncer l’exploitation ! Dés le début, le bureau n’appréciait pas le dynamisme et (...)
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